2013-08-27

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POUR EN FINIR AVEC LA PROPAGANDE MENSONGERE, TROMPEUSE, ABSURDE ET STUPIDE SUR L’ORIGINE DES MUSIQUES NORD-AMERICAINES

 



A entendre les boniments des médias de l’Empire du Mal et donc ceux de la propagande juive sioniste et collaboratrice qui s’exerce partout, relayée par des esprits malveillants sur Wikipédia, l’encyclopédie en ligne bien connue pour sa judéophilie et sa complaisance envers le sionisme, ce sont les nègres qui auraient tout apporté musicalement à l’Amérique, les Blancs n’ayant fait que copier et interpréter les chants, les musiques et les danses négroïdes des esclaves, accompagnés des instruments musicaux de ces derniers ; cela fonctionne à merveille

puisque la grande majorité des Blancs (zombies) s’est encrassée ces fadaises au plus profond de sa matière grise !

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La réalité est tout autre et l’évidence historique le confirme ; l’Europe “chrétienne” colonise le continent américain à partir de la fin du 15e siècle (bien que les Vikings y aient déjà pointé le nez vers l’an 1000) en emportant avec elle ses traditions populaires musicales : celtique orale anglo-irlandaise d’une part, folklorique et classique de l’Europe continentale d’autre part (chants, musiques, rythmes, danses et instruments de musique), alors que les esclaves nègres seront déportés en Amérique du Nord avec les fers aux chevilles pour tout bagage, à 100% par leurs propres compatriotes et par des marchands juifs et arabes, entre les 17e et 19e siècles.

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Ces esclaves noirs africains sont déracinés, non pas afin d’apprendre aux Blancs à chanter, à danser, à jouer du piano, de la harpe, du violon, de la contrebasse, de la guitare, de la trompette, de l’accordéon, de l’harmonica, etc, etc, mais afin de travailler pour des propriétaires blancs en qualité de domestiques ou ouvriers agricoles. (Par la suite, certains esclaves noirs libérés sont véritablement devenus propriétaires terriens et eux-mêmes détenteurs d’esclaves). N’oublions pas, également, les Noirs nord-américains ont conservé certains noms de famille anglo-saxons que les anciens maîtres blancs leurs avaient attribués !

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A partir du milieu du 17e siècle, les colons blancs nord-américains encouragent fortement ou imposent à leurs esclaves leurs valeurs religieuses et culturelles (le premier baptême d’esclave eut lieu en 1641). Les propriétaires incitent fermement ou obligent leurs esclaves nègres à participer aux offices religieux dans les églises où les Blancs, rassemblés en chorales, pratiquent les psaumes, les sermons et les cantiques qui, par leur simplicité et leur authenticité, servirent d’outils à l’évangélisation en masse des esclaves nègres, cette évangélisation rencontrant un succès important parmi la population noire.

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A partir de là, les Blancs apprirent aux nègres à chanter dans les langues prédominantes des territoires colonisés nord-américains, le français et l’anglais, et plus tard à danser et à jouer des instruments de musique ; les Blancs leur enseignèrent, tout particulièrement, les hymnes religieux. Les nègres adaptèrent les mélodies religieuses des Blancs avec leur instinct primitif et en firent usage dans les champs de plantation pour se donner du courage ; voilà la vraie origine des chants religieux dits “negro spirituals” puis “gospels”, termes inventés par les juifs pour masquer ceux de psaume,  sermon, cantique, hymne, etc. Ces mêmes juifs, depuis le début du 20e siècle et jusqu’à nos jours, ont la manie obsessionnelle et délétère de donner un nom, comme bon leur semble, à la matérialité musicale du moment (exemple

renversant : voir la liste aberrante des genres de « metal » toutes les grosses boites de disques mondiales étant, depuis l’avènement de l’enregistrement sonore, entre leurs griffes.

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Cette analyse de l’origine du gospel est applicable à tous les autres styles musicaux blancs adoptés par les esclaves et leurs descendants avec leurs sentiments négroïdes, ce qui produira des couleurs musicales négroïdes différentes et dépendantes des essences originelles musicales blanches (il n’exista point de nom spécifique donné aux musiques populaires avant l’accession de l’industrie du disque).

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C’est un pan entier de la gigantesque manipulation juive qui s’effondre. Celui qui croit encore aux bobards est celui qui refuse de voir. C’est un syndrome connu chez les lâches et les faibles qui préfèrent vivre avec un mensonge plutôt que d’affronter la peur de la réalité; il y en a beaucoup, car le monde blanc est devenu une société de couards et de crétins.

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Autre exemple caractéristique ; le premier enregistrement de jazz au monde de style dit “New Orleans” ou “Dixieland” apparut initialement à Chicago (USA) le 26 février 1917 grâce au fameux groupe” The Original Dixieland Jass Band” qui deviendra rapidement “The Original Dixieland Jazz Band” , avec le titre « Livery Stable Blues ».

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Dans le “French Quarter” de la Nouvelle Orléans



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Le mot « jass » étant l’une des expressions les moins flatteuses pour qualifier le jazz au début du 20e siècle, signifiant

littéralement la musique de cul. C’est pourquoi les créateurs du jazz ont abandonné ce terme très prosaïque pour l’époque. Immense formation fondée en 1916 à la Nouvelle Orléans, dont les membres originels furent Larry Shields (clarinette), Eddie Edwards (trombone), Henry Ragas (piano), Tony Sbarbaro (batterie), et Nick La Rocca (trompette) ; ils ratiquaient le jazz depuis de nombreuses années dans différents orchestres comme le “Papa Jack Laine’s Reliance Brass Brand” avec une large panoplie de musiciens qui seront les pionniers du jazz dit new orleans ou dixieland.

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Cathédrale de Saint Louis en Nouvelle Orléans

Nous devons à cette formation les plus grands standards de jazz tel le plus grand parmi les plus grands « Tiger Rag » enregistré le 17 août 1917 (l’envers du disque fut Dixie Band Jass One Step), écrits par Nick La Rocca. C’est l’une des compositions les plus enregistrées de tous les temps à tel point que cet enregistrement a été mis sur la bibliothèque du Congrès américain en 2003. Autre version de « Tiger Rag » enregistrée le 9 février 1936.

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Carte postale de 1918

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Des spécialistes de la ville de Lyon, en France, grands amateurs et collectionneurs de jazz “New Orleans”, affirment que cette musique est née en réalité en Europe et tout particulièrement en Grande-Bretagne, dans un kiosque à musique pour fanfares. Pas moins de 2300 orchestres ont existé dans ce pays.

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1906 – L’une des formations de Papa Jack Laine (assis) : Manuel Belasco et Giuseppe Alessandra,

(debout) : Dave Perkins, Vincent Barocco, Sidney Moore, Pete Pelegrini,Freddie Neuroth et le chef Papa Jack Laine



George Vetiala (1873-1966) alias George Vital Laine, alias Papa Jack Laine était un chef d’orchestre et batteur, l’un des pionniers du jazz ; il n’était pas techniquement un musicien de jazz lui-même, mais il était un découvreur de talents de maître. Sa carrière remonte à son adolescence car il forme son premier groupe en 1888 à l’âge de 15 ans et quelques années plus tard il fonde et dirige le Brass Band Reliance à la Nouvelle Orléans, groupe qui dura plus de quatre décennies. Il a créé au moins cinq autres orchestres plus ou moins avec le même nom, travaillant tous simultanément. Il se retire en 1920. Plus de 100 musiciens de haut niveau sont passés dans ses groupes.

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1915 – Stein’s Dixie Jass Band, USA. Doc Behrenson (cornet), Jules Cassard (trombone), Eddie Edwards

(trombone), Ernie Erdman (piano), Nick La Rocca (trompette), Yellow Nunez (clarinette), Henry Ragas (piano), Johnny

Stein (batterie), Larry Shields (clarinette).

1917 – The Original Dixieland Jazz Band, USA. Nick La Rocca, Henry Ragas, Eddie Edwards, Tony Sbarbaro, Larry

Shields.

1917 – Earl Fuller’s Famous Jazz Band, USA. Harry Raderman, Ted Lewis, John Lucas, Earl Fuller, Walter Kahn.

1917 – Jimmy Durante’s Original New Orleans Jazz Band, USA. Johnny Stein, Frank Christian, Frank Lolak,

Jimmy Durante, Achille Baquet.

1919 – Papa Jack Laine avec Alfred Baby Laine’s Band, Alexandria, Louisiana, USA.

1919 – The Happy Six, USA. Earl Oliver (trompette), James Lent ou Paul Creedon (batterie), Tom Brown (trombone),

Elmer Grosso (violon), Alcide Nunez (clarinette), Albert « Babe » Fuller (piano). L’un des deux principaux orchestres

pionniers de Jazz à la Nouvelle-Orléans avec The Original Dixieland Jazz Band dont les spécialistes considèrent les

enregistrements comme avant-garde.

1918 ou 1919 – The Scrap Iron Jazzerinos, France. Groupe de soldats américains basés en France; Albert S.

Angellotta (trombone), Syl C. Horn (banjo et violon), Edwin F. Dakin (violon), W. Russell Hauslaib C-Melody

(saxophone), Clayton S. Thirkell (piano), Arshav K. Nushan (batterie), Clarence W. Koch (trompette).

1920 – Art Hickman’s New York London Five, Londres, Angleterre. George Fishberg, Jack Howard, Clarence

Gransie, Keith Pitman, George Klein.

1920 – Billy Arnold’s American Novelty Jazz Band, Londres, Angleterre. Billy Arnold, Harry Johnson, Henry Arnold,

Charles Kleiner, Billy Trittle, Charles « Dinty » Moore.

1921 – Billy Madden’s Crescent City Orchestra, Londres, Angleterre. Eddie Poggi, Albert Savarese, Nick James

(vrai nom : Masserotti), Billy Madden, Joe Candullo, Lou Savarese.

1921 – Tom Brown’s Band From Dixieland, USA. Steve Brown (contrebasse), Tom Brown (trombone), William

Lambert (batterie), Ray Lopez (cornet), Arnold Loyocano (guitare), Paul Mares (cornet), Gus Meuller (clarinette),

Yellow Nunez (clarinette), Larry Shields (clarinette).

1922 – Ted Lewis And His Band, USA. Frank Lhotak, Harry Raderman, Frank Ross, Ted Lewis, Harry Barth, John

Lucas, Dave Klein, Walter Kahn. Diffusion à l’Union Trust Co.’s, station de radio de Cleveland, dans l’Ohio, le mardi 24

octobre 1922 à 19 heures.

1922 – The New Orleans Rhythm Kings, USA. Léon Roppolo, Jack Pettis, Elmer Schoebel, Arnold Loyacano, Mares

Paul, Frank Snyder, Brunies George.

1923 – The Savoy Orpheans, Londres, Angleterre.

1924 – Rumolino’s Hot Boys Band, France. —- Dalh (Américain), Tony Rumolino (Italien), —- Jalouseau (?)

(Français), Clarence J. Gransie (Américain), Paul Gason (Belge), Billy Thorburn (Anglais).

1924 ou 1925 – Carlyle Stevenson’s Bon-Ton Ballroom Orchestra, USA.

1925 – The London Savannah Band, à Southport, Angleterre. Premier orchestre de Billy Cotton.

De même, le jazz funeral, processions funéraires musicales de la ville de la Nouvelle Orléans,

imputé encore et toujours arbitrairement au nègre alors que nous savons pertinemment que

l’origine du jazz funeral est italienne, depuis des lustres, avec les fanfares (cuivres, vents et

percussions) qui escortaient les morts ; la ville de la Nouvelle Orléans avait la plus forte

concentration de Siciliens de tous les Etats-Unis, cela explique le jazz funeral dans cette ville,

processions qui seront passablement calquées par les Noirs pour leur propre compte. Voir aussi

l’oeuvre d’Hertor Berlioz (1803-1869), “La Grande Symphonie Funèbre et Triomphale”, pour

une cérémonie funèbre qui eut lieu le 28 juillet 1840 en France, à Paris, avec une grande

fanfare militaire de 200 musiciens, cortège funèbre passant par la Concorde, la Madeleine et

les Grands Boulevards.

Tout comme on nous fait croire que le chanteur interprète Elvis Presley (1935-1977), que les

juifs de RCA ont pressé comme un citron et manipulé à souhait, a inventé le rock’n'roll et le

rockabilly (genres de musiques populaires rythmées dues à l’évolution naturelle de l’art

musical blanc dans le temps qui, pour la première se profile dans les années 1930 et pour la

suivante se dessine dans les années 1940) ; il y aura assurément et parallèlement à tous ces

rythmes créés par les Blancs, de médiocres dupliqués négroïdes. En outre, la presque totalité

des instruments de musique est d’origine européenne ce qui prouve indéniablement que les

Blancs n’ont pas attendu les nègres pour en user !

The Maddox Brothers and Rose, véritables précurseurs du rockabilly parmi les milliers de

groupes blancs de l’époque.

1933-11-04 – From the Oakland Tribune, Californie, USA.

1947 – Mean And Wicked Boogie

1947 – Milk Cow Blues

1949 – George’s Playhouse Boogie

1949 – Honky Tonkin

Au départ, afin d’imiter les Blancs, les Noirs montèrent des orchestres avec des instruments

hétéroclites faits de bric et de broc donnant des bruits de klaxons et de brouhahas d’animaux

se qui ressemblait plus à un tintamarre qu’à de la véritable musique. Beaucoup plus tard,

comme toute exception qui confirme la règle, il existera des chansons écrites par des Noirs

nord-américains puis reprises par des Blancs, telle “Saint Louis Blues” attribuée à tort au Noir

Louis Armstrong (1901-1971), mais composée (?) par le Noir Williams Christopher Handy

(1873-1958) (il reste à prouver que celui-ci ne se soit pas inspiré d’une vieille chanson blanche

oubliée, les Noirs étant coutumiés du fait !). Le groupe “The Original Dixieland Jazz Band”

en fit un grandiose standard de jazz en 1921 alors que Louis Armstrong plagiaire notoire

——– comme, dans un tout autre genre d’événements, le juif *Albert Einstein (1879-1955)

qui pilla les recherches et les découvertes (optique, calcul infinitésimal, théorie du chaos et

théorie de la relativité) de Henri Poincaré (1854-1912) mathématicien, physicien et

philosophe français mais aussi celles de Isaac Newton (1643-1727), Jakob Lorber (1800-

1864), Gottfried Mayerhofer (1807-1877), Olinto de Pretto (1850-1921), Hendrick

Antoon Lorentz (1853-1928) et d’autres encore ——– l’enregistra sur la conception du

célèbre groupe blanc qu’en 1929, et ne se priva pas de puiser abondamment dans le riche

répertoire de cet extraordinaire orchestre légendaire.

En 1950, Dominic James “Nick La Rocca ou Nick LaRocca (1889-1961), écœuré et

scandalisé par les racontars de certains médias aux Ordres, déclara publiquement haut et fort

qu’il était l’inventeur du jazz et que ceux qui prétendaient que la musique avait des origines

nègres faisaient partie d’un complot communiste. Cet immense créateur, compositeur et

musicien, était déjà très près de la Vérité, car le complot est précisément judéo-sioniste – qui

utilise l’inversion accusatoire comme une arme de propagande massive au service du sionisme

et d’Israël. Nick La Rocca forma son premier orchestre en 1908. De 1910 à 1916, Nick La

Rocca jouera dans diverses formations comme le Papa Jack Laine’s Reliance Band. Il

composera d’autres grands standards de jazz comme At The jazz Band Ball, Fidgety Feet,

Original Dixieland One Step, Clarinet Marmalade, Sensation Rag, etc…

*Einstein, Marx et Freud, les pieds nickelés de l’histoire juive.

1891 – Girolamo La Rocca avec ses enfants Antonia, Nick sur les genoux de son père, Maria et Rosario, Nouvelle

Orléans, USA.

1910′s – Nick La Rocca, USA.

1915 – Nick La Rocca, USA.

Nick La Rocca « avant et après », USA.

1960 – Nick La Rocca quelques temps avant sa mort, USA.

Les médias judéo-sionistes de l’Empire du Mal occultent totalement et systématiquement les

centaines de milliers d’artistes blancs de boogie woogie, de blues et de jazz entre 1859, année

du tout premier enregistrement de voix au monde par le Français Edouard-Léon Scott de

Martinville (1817-1879) et 1959, année de l’arrêt de mort programmé par la juiverie sioniste

internationale de toutes les créations musicales nobles et passionnantes conçues durant des

siècles par les Blancs au profit de sons à caractères sémites et négroïdes. En 1877 Charles

Cros (1842-1888), savant et poète français, imagine un système capable d’enregistrer le son

sur un disque ou un cylindre.

Conclusion : Ce sont bien les Blancs qui ont tout inventé, créé, et non les Noirs, qui se sont

pastichés des valeurs musicales des premiers et qui n’ont rien imaginé ; les Blancs, d’une

intelligence prodigieusement supérieure, sont aptes à singer un nègre à l’identique tandis que

l’inverse est difficile à concevoir, voir même assurément et foncièrement impossible. Les noirs

sont incapables d’assurer leur survie quotidienne sans l’aide intensive des Blancs ; citons le

témoignage sans appel du célèbre prix Nobel de la paix, le Docteur Albert Schweitzer (1875-

1965), extraits de From My African Notebook (1961) : “J’ai donné ma vie à offrir aux Africains

les avantages de notre civilisation, mais j’ai finalement bien compris que les statuts ne

changeront pas : Blancs, supérieurs, Noirs, inférieurs ; à chaque fois qu’un Blanc souhaite

vivre avec eux comme un égal, ils vont soit le détruire, soit s’engouffrer dans son être et ils

détruiront tout son travail. (…) Ils n’ont pas les facultés intellectuelles, ni mentales, ni

émotionnelles, pour égaler les Blancs ou pour partager avec eux d’une manière égale

n’importe quelle fonction de notre civilisation. (…) N’oubliez jamais que vous êtes le maître et

que ce sont des enfants. (…) Ne fraternisez jamais avec eux comme un égal, ne les acceptez

jamais comme vos égaux sociaux ; ou ils vous dévoreront ; ils vous détruiront”.

Epilogue : Quelqu’un peut-il expliquer, lorsque les Noirs africains, en voie d’extinction, étaient

entièrement autonomes dans leur existence parmi les magnifiques forêts du continent africain,

pourquoi n’ont-ils pas inventé les genres musicaux gospel, negro-spiritual, blues, jazz, boogie,

etc, avant les Blancs ? ; voici la seule réponse : tout simplement infaisable puisque inaptes et

ineptes. D’autre part, si les Blancs n’avaient pas secouru les Noirs, et cela continue encore et

toujours aujourd’hui, dans leur subsistance vitale, ces derniers auraient disparu de la surface

de la Terre ! ! ! !

Evaluant le nègre, voici une confirmation du célèbre diplomate et écrivain français Comte

Joseph Arthur de Gobineau (1816-1882) : “(…) l’absence des aptitudes intellectuelles le

rend complètement impropre à la culture de l’art, même l’appréciation de ce que cette noble

application de l’intelligence des humains peut produire d’élevé. Pour mettre ses facultés en

valeurs, il faut qu’il s’allie avec une race différemment douée…” Comte de Gobineau, “Essai

sur l’inégalité des races humaines”, livre II, chap. VII, 1ère édition 1853-1855).

Dans la même veine, nous avons de nombreuses autres intoxications adipeuses telles les

véritables responsables de la guerre de Sécession, de la première guerre mondiale, de la

deuxième guerre mondiale, la désinformation sur la réalité des chambres à gaz homicides

allemandes, les tenants et les aboutissants de l’attaque japonaise sur Pearl Harbor le 7

décembre 1941, les véritables aspects des attentats du 11 septembre 2001, etc, etc… ! Le juif

sioniste est derrière toutes les saloperies perpétrées dans le monde ; le juif est un

opportuniste qui profite de l’intensité naturelle de notre race pour en saisir la substance à son

profit.

Depuis la fin des années 1950, l’Empire du Mal nous dissimule insolemment ou sème la

suspicion sur les anciennes musiques blanches nord-américaines dans la seule intention de

nous faire prendre des vessies pour des lanternes. Les assassins de la Mémoire nous

ressassent strictement et à outrance la diffusion de gospel, blues, jazz ou autres styles,

exclusivement de types négroïdes et sémites dans le but de nous faire gober à l’incompétence

des Blancs en la matière ; ce genre d’annonce, que dis-je, effet d’annonce, n’atteint que les

faibles, les esprits chagrins, les gens de peu de foi en leurs capacités morales et intrinsèques.

Le rap est un ramdam insupportable sinon carrément vomitif ouvertement provocateur et

pernicieusement subversif que l’Empire du Mal nous impose sur toutes les chaînes médiatiques

judéo-sionistes, 24 sur 24 ! Les argousins de la pensée, les adeptes du mensonge, de la

désinformation et de la médiocrité, les collabos, les faux-derches et les abrutis de service sont,

là, cloués au pilori…! Nous assistons à une immobilisation mortifère de la créativité musicale et

l’inhibition des talents de race blanche ; l’Empire du Mal, au paroxysme de sa perversion,

s’acharne à détruire les supports musicaux du début du 20e siècle concernant de précieuses

archives sonores d’artistes blancs que je qualifie d’œuvres d’art incomparables. L’affaire

Megaupload (qui n’est que l’amorce funeste d’une vaste offensive d’éradication de sites web

qui ne sont pas encore sous contrôle hébraïque) est une autre illustration de la volonté

criminelle de l’Empire du Mal de mettre un terme à la libre recherche d’information non-

conformiste.

«La libre pensée est exigeante, car elle suppose un effort pour penser par soi-même, alors que

nous sommes gavé de prêt-à-penser.»

«L’axe américano-sioniste a phosphorisé les enfants allemands, atomisé les enfants japonais,

traité les enfants vietnamiens à l’agent orange et les enfants irakiens à l’uranium appauvri. Il

est temps que les vaincus, les humiliés, les offensés répliquent par ce que j’appelle depuis

longtemps “l’arme atomique du pauvre”, c’est-à-dire par le révisionnisme historique ; cette

arme-là ne tue ni ne mutile personne ; elle ne tue que le mensonge, la calomnie, la

diffamation, le mythe de la “Shoah” ainsi que l’abject Shoah-Business, cher à Bernard Madoff,

à Elie Wiesel, à la cohorte des “miraculés” et aux assassins des enfants de Gaza» Professeur

Robert Faurisson.

Amitiés indéfectibles à Vince, Denis, Cécile et Adena pour leurs enthousiasmes et leur passion

à faire connaître quelques vérités.

Cattos

Parmi des centaines de milliers d’artistes blancs populaires :

Jimmie Rodgers (1897-1933), l’un des plus talentueux chanteurs-compositeurs-musiciens de

blues. C’est le premier véritable soliste de cette musique. Sa figure légendaire a suscité un

véritable culte, dont il créera beaucoup de vocations aussi bien auprès des Blancs que des

Noirs.

1928 – Never No Mo’ Blues

1930 – Waiting For A Train – Daddy And Home – Blue Yodel

Adrian Rollini (1903-1956)

1927 Magnolia

1934 – Tiger Tag

Art Gunn

1948 – Boogie Woogie Blues

Bill Boyd (1914-1977)

1937 – Guess Who’s In Town

Bill Haley (1925-1981)

1951 – Green Tree Boogie

1952 – Sundown Boogie

Bix Beiderbecke (1903-1931)

1920′s – Clarinet Marlade

Bob Skyles

1938 – That’s All There Is

1930′s – Music Of The South

Bob Wills (1905-1975)

1932 – Osage Stomp

Carolina Cotton (1925-1997)

1944 – I love To Yodel

Cindy Walker (1918-2006)

1944 – TI-Yi Yippee-Aye

Cliff Bruner (1915-2000)

1930′s – Kangaroo Blue

1930′s – That’s What I Like About The South

Curley Hickson

Hart’s Bread Boogie

Delmore Brothers (Alton (1908-1964) & Rabon (1916-1952)

1940′s – Freight Train Boogie

1949 – Pan American Boogie

Ella Mae Morse (1924-1999)

1942 – Cow Cow Boogie

1945′s – House Of Blue Lights

Gai Moran & Danny Hocktor

1941 – Zig Me Baby With A Gentle Zag

Gene Krupa (1909-1973) & Barbara Stanwyck (1907-1990)

1941 – Drum Boogie

Halfway House Orchestra

1920′s – Maple Leaf Rag

Hank Williams (1923-1953)

1947 – Move It On Over

1947 – Rootie Tootie

1948 – I Saw The Light

1951 – Hey Good Lookin

Jerry Lee Lewis (1935)

1957 – Whole Lotta Shakin’ Going On

Joe Maphis (1921-1986)

1958 – Town Hall Boogie

Louise Massey (1902-1983)

1930′s – Sweet Mama Tree Top Hall

1940′s – Billy Boy

Lynn Pratt (1927)

1959 – Tom Cat Boogie

Malcolm Yelvington (1918-2001)

1955 – Drinkin’ Wine Spodee-O-Dee

1955 – Yakety Yak

Merrill Moore (1923-1957)

1955 – Down The Road Piece

1955 – Cow Cow Boogie

Milton Brown (1903-1936)

1936 – Yes Sir !

New Orleans Owls

1927 – West End Romp

Miff Mole (1898-1961)

1920′s – The Darktown Strutters Ball

Ocie Stockard (1909-1988)

1930′s – Bass Man Jive

Original Indiana Five

1923- Beside A Babbling Brook

Original Memphis Five

1920′s – Fireworks

Roy Newman (1899-1981)

1935 – Dinah

1930′s – Everybody’s Trying To Be My Baby

1937 – Graveyard Blues

Sonny Burgess (1931)

1956 – We Wanna Boogie

1956 – Red Headed Woman

Spade Cooley (1910-1969)

Miss Molly

The Bobcats

1951 – Muskrat Ramble

1951 – The Savoy Blues

The Modern Mountaineers

1937 – Everybody’s Truckin’

The Tennessee Tooters

1925 – Hot Hot Hottentot

Thelma White (1910-2005)

1940′s – Hollywood Boogie

Wayne McGinnis (1932)

1956 – Rock, Roll And Rhythm

1956 – Lonesome Rhythm Blues

Werly Fairburn (1924-1985)

1956 – My Heart’s On Fire

Will Bradley (1912-1989)

1942 – Basin Street Boogie

SOUNDIES (collection haute définition)

Nota bene : Cliquer sur les hyperliens soulignés et en italique dont quelques uns de couleur

rose (exemple) indiqués

ci-dessus

ou

sur

les

pages

supérieures. Ces quelques

documents audiovisuels ont été sélectionnés à titre aléatoire parmi un nombre incalculable de

références. Certains hyperliens peuvent devenir inactifs. Internet, le dernier bastion pour la

libre expression de la Vérité, s’amenuise comme une peau de chagrin sous les coups de boutoir

de l’Empire du Mal.

Fin.

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