2014-04-24

(For blog in English look right)

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…..Avant Dominique Venner, un peu d’humour





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Comment les guêpes font-elles l’amour ?
Dard dard

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Quel animal court le plus vite ?
Le pou, car il est toujours en tête               

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Que fait un canard quand il a soif ?

Il se tape une cannette

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Savez-vous comment communiquent les abeilles ?

Par e-miel …

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Une poule sort de son poulailler et dit :

“brrr, quel froid de canard.”

Un canard qui passe lui répond :

“Ne m’en parlez pas, j’ai la chair de poule.”

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Pourquoi les coqs ont-ils des ailes et les poules pondent-elles des œufs ?

Parce que les coqs ont besoin “d’elles” et les poules ont besoin “d’eux”

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Deux coccinelles font la course. Au bout d’un moment une s’arrête et dit :

“STOP !!! J’ai un point de côté !!!”

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Que se disent deux chats quand ils sont amoureux ?

“Nous sommes félins pour l’autre”

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2 mites se rencontrent dans un pull l’une dit :

- Ou vas-tu en vacances cette année ?

- Au bord de la Manche

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Un vieux rat rencontre une petite taupe. Curieux, il lui demande :

- Que veux-tu faire plus tard, ma petite ?

- Taupe-modèle !

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Deux souris voient passer une chauve-souris… :

Regarde un ange !!!

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….. “En souvenir de Dominique Venner” trouvé sur “Boulevard Voltaire”

[Toutes les photos ont étés ajoutée par moi, JdN, à ces articles écrit par Robert Menard et Jérôme Poignon]

 

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Lettre de Venner au monde, envoyé avant son suicide protestataire à l’autel de la cathédrale de Nôtre Dame à Paris [source: http://www.bvoltaire.fr/document/la-derniere-lettre-de-dominique-venner-les-raisons-dune-mort-volontaire,23625]:



Avant de se donner la mort, ce 21 mai à 16 heures, devant l’autel de la cathédrale de Notre-Dame de Paris, l’écrivain et historien Dominique Venner a pris soin de faire parvenir une lettre d’explication à ses amis. L’un d’entre eux, l’historien Bernard Lugan, a également reçu un pli qui m’était destiné. Ce courrier contenait une clé USB. Et dans celle-ci, la déclaration que vous lirez ci-dessous.Je ne connaissais pas personnellement Dominique Venner. S’il a tenu à me faire parvenir ce qui sera son dernier écrit, c’est, j’en suis persuadé, pour que nous la publiions sur Boulevard Voltaire. Ce que nous faisons. Comme nous tenons à dire toute notre tristesse à sa famille et à tous ceux à qui il laissera le souvenir d’un homme de conviction. Il nous en a offert une nouvelle preuve.Robert Ménard

La dernière lettre de Dominique Venner.

Je suis sain de corps et d’esprit, et suis comblé d’amour par ma femme et mes enfants. J’aime la vie et n’attend rien au-delà, sinon la perpétuation de ma race et de mon esprit. Pourtant, au soir de cette vie, devant des périls immenses pour ma patrie française et européenne, je me sens le devoir d’agir tant que j’en ai encore la force. Je crois nécessaire de me sacrifier pour rompre la léthargie qui nous accable. J’offre ce qui me reste de vie dans une intention de protestation et de fondation. Je choisis un lieu hautement symbolique, la cathédrale Notre-Dame de Paris que je respecte et admire, elle qui fut édifiée par le génie de mes aïeux sur des lieux de cultes plus anciens, rappelant nos origines immémoriales.

Alors que tant d’hommes se font les esclaves de leur vie, mon geste incarne une éthique de la volonté. Je me donne la mort afin de réveiller les consciences assoupies. Je m’insurge contre la fatalité. Je m’insurge contre les poisons de l’âme et contre les désirs individuels envahissants qui détruisent nos ancrages identitaires et notamment la famille, socle intime de notre civilisation multimillénaire. Alors que je défends l’identité de tous les peuples chez eux, je m’insurge aussi contre le crime visant au remplacement de nos populations.

Le discours dominant ne pouvant sortir de ses ambiguïtés toxiques, il appartient aux Européens d’en tirer les conséquences. À défaut de posséder une religion identitaire à laquelle nous amarrer, nous avons en partage depuis Homère une mémoire propre, dépôt de toutes les valeurs sur lesquelles refonder notre future renaissance en rupture avec la métaphysique de l’illimité, source néfaste de toutes les dérives modernes.

Je demande pardon par avance à tous ceux que ma mort fera souffrir, et d’abord à ma femme, à mes enfants et petits-enfants, ainsi qu’à mes amis et fidèles. Mais, une fois estompé le choc de la douleur, je ne doute pas que les uns et les autres comprendront le sens de mon geste et transcenderont leur peine en fierté. Je souhaite que ceux-là se concertent pour durer. Ils trouveront dans mes écrits récents la préfiguration et l’explication de mon geste.

Dominique Venner est né en 1935. Il est essayiste et historien. Il est le fondateur de La Nouvelle Revue d’Histoire. Il a publié un grand nombre de livres (parmi lesquels Le Siècle de 1914 ou Histoire et traditions des Européens). Derniers essais parus : Le Choc de l’Histoire (Editions Via Romana, 2011), L’Imprévu dans l’Histoire (Éd. Pierre-Guillaume de Roux, 2012). Essai à paraître chez cet éditeur : « Un Samouraï d’Occident. Le bréviaire des insoumis ».

Sur le site qui publia son ultime lettre il y a un an, je veux célébrer Dominique Venner.

de Jérôme Poignon

Jusqu’à ce jour du 21 mai 2013, il m’était inconnu. Son geste dans la cathédrale avait été sommairement qualifié de « suicide d’un intellectuel de droite, sans lien avec le terrorisme », ce qui permettait aux médias bien-pensants de passer sereinement à la météo et aux résultats sportifs.

Pourtant, j’étais intrigué par l’exposition délibérée d’un geste essentiellement privé. En lisant sa lettre, puis son dernier livre, je comprenais que son acte final était un sacrifice destiné à réveiller tous ceux atteints par son information.

J’étais de ceux-ci et certainement aussi endormi que d’autres par le césarisme d’une époque finissante qui a perdu beaucoup des vertus qui marquent les grandes œuvres de notre passé, notamment l’enthousiasme, le sentiment de la transcendance, et le courage. « Toute collectivité sans cohésion sacrificielle, si efficace qu’en soit l’organisation, n’est qu’un agrégat sans volonté commune, anonyme et sans responsabilité » (Pierre Emmanuel).

Caricature sur la Suède ultra-politiquement correcte, qui expérimente un tsunami de viols de femmes suédoises par des bandes musulmanes (Traduc. en francais des quatres segments: “Ouga-bouga!” “Au secours! On me viole!” puis “O-lal-a” “C’est le Capitaine Suède!”  ..après “Je crois que le moment est venu pour démontrer mes super-pouvoirs de tolérance et pensée progressive!” et finalement “Vive la Suède!” “Comme c’est tolérant!”)

Venner porte un jugement lucide sur le siècle et ne partage pas le pessimisme de Spengler : si le déclin de l’Occident n’est pas irréversible, c’est parce que l’esprit à l’origine de ses grandes réalisations intellectuelles germera certainement à nouveau, si toutefois la flamme est entretenue.

En attendant la reconquête d’un sens du destin, il nous faudra « éduquer et transmettre » des vertus simples comme celles qu’il décrit dans son livre. Dans le « tunnel » que nous traversons, notre rôle sera donc analogue à celui des monastères qui conservaient et copiaient, au Moyen-Âge, les livres grecs et romains qui devaient nourrir la Renaissance.

Ce « cri » qui a résonné sous les voûtes de Notre-Dame de Paris me remplit de crainte : si les dérives qu’il dénonce sont aussi vastes que le sacrifice fut grand, combien faudra-t-il de discours, de livres, de pamphlets, de suffrages ou d’abstentions protestataires pour provoquer le nécessaire changement des mentalités et des comportements privés et publics ? Saurons-nous éviter les méfaits d’un anarchisme subversif et les démesures de la révolution ?

Il ne suffira pas, en effet, de dénoncer les turpitudes et les excès par l’investigation et/ou la dérision : « L’effort intense de refondation doit être authentifié par des actes ayant une valeur sacrificielle et fondatrice. » La dernière phrase de son dernier livre a été illustrée dramatiquement puisqu’« il faut être soi-même jusqu’au dernier instant, surtout au dernier instant ».

Comment ne pas penser à la terrible sentence que Yourcenar place dans son « Mishima » : « Il s’agit toujours de superposer à la sagesse prudente et courante dont nous vivons ou sur laquelle nous végétons tous, la sagesse dangereuse, mais revivifiante, d’une ferveur plus libre et d’un absolu mortellement pur. »

Sur le site qui publia son ultime lettre il y a un an, je veux célébrer Dominique Venner.

Jusqu’à ce jour du 21 mai 2013, il m’était inconnu. Son geste dans la cathédrale avait été sommairement qualifié de « suicide d’un intellectuel de droite, sans lien avec le terrorisme », ce qui permettait aux médias bien-pensants de passer sereinement à la météo et aux résultats sportifs.

Pourtant, j’étais intrigué par l’exposition délibérée d’un geste essentiellement privé. En lisant sa lettre, puis son dernier livre, je comprenais que son acte final était un sacrifice destiné à réveiller tous ceux atteints par son information.

 

J’étais de ceux-ci et certainement aussi endormi que d’autres par le césarisme d’une époque finissante qui a perdu beaucoup des vertus qui marquent les grandes œuvres de notre passé, notamment l’enthousiasme, le sentiment de la transcendance, et le courage. « Toute collectivité sans cohésion sacrificielle, si efficace qu’en soit l’organisation, n’est qu’un agrégat sans volonté commune, anonyme et sans responsabilité » (Pierre Emmanuel).

Venner porte un jugement lucide sur le siècle et ne partage pas le pessimisme de Spengler : si le déclin de l’Occident n’est pas irréversible, c’est parce que l’esprit à l’origine de ses grandes réalisations intellectuelles germera certainement à nouveau, si toutefois la flamme est entretenue.

 

En attendant la reconquête d’un sens du destin, il nous faudra « éduquer et transmettre » des vertus simples comme celles qu’il décrit dans son livre. Dans le « tunnel » que nous traversons, notre rôle sera donc analogue à celui des monastères qui conservaient et copiaient, au Moyen-Âge, les livres grecs et romains qui devaient nourrir la Renaissance.

Le général wallon de la Waffen-SS Léon Degrelle

Ce « cri » qui a résonné sous les voûtes de Notre-Dame de Paris me remplit de crainte : si les dérives qu’il dénonce sont aussi vastes que le sacrifice fut grand, combien faudra-t-il de discours, de livres, de pamphlets, de suffrages ou d’abstentions protestataires pour provoquer le nécessaire changement des mentalités et des comportements privés et publics ? Saurons-nous éviter les méfaits d’un anarchisme subversif et les démesures de la révolution ?

Il ne suffira pas, en effet, de dénoncer les turpitudes et les excès par l’investigation et/ou la dérision : « L’effort intense de refondation doit être authentifié par des actes ayant une valeur sacrificielle et fondatrice. » La dernière phrase de son dernier livre a été illustrée dramatiquement puisqu’« il faut être soi-même jusqu’au dernier instant, surtout au dernier instant ».

Comment ne pas penser à la terrible sentence que Yourcenar place dans son « Mishima » : « Il s’agit toujours de superposer à la sagesse prudente et courante dont nous vivons ou sur laquelle nous végétons tous, la sagesse dangereuse, mais revivifiante, d’une ferveur plus libre et d’un absolu mortellement pur. »

 

JdN: Fabius et Hollande, deux Juifs de la pire sorte

…..Merci à tous mes donateurs généreux!

John de Nugent

681 Canal Road

Apollo PA 15613

(724) 596-4284

john_denugent@yahoo.com

sur Facebook: John D. Nugent

sur Skype: John de Nugent (Pittsburgh)

REGISTRE DE DONS RECUS: http://www.democratic-republicans.us/donations-log

Marguérite Huffstickler, partiellement d’ascendance acadienne de la Louisiane, chanteuse d’opéra, traductrice et oratrice, et nationale-socialiste. une dure des durs, et puis votre fidèle serviteur devant notre maison ….

C’est comme cela que vous pouvez m’aider:

(1) aux Ètats-Unis par un “USPS” postal money order” ou bien autre mandat laissé vide ou bien rempli sur “John de Nugent”

(2) par des pièces de monnaie en or ou des bijoux

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(3) par des espèces mis en enveloppe, même avec une adresse de retour fausse

(4) par PayPal (signalez-moi svp votre intention à john_denugent@yahoo.com pour des détails, car PP m’a banni depuis l’automne de 2011, presque seul parmi des nationalistes blanc des Ètats-Unis, tant les Juifs m’aiment…)

(5) des chèques remplis à “John de Nugent”

J’ai besoin de vos dons, petits autant que moyens et grands, pour pouvoir me retirer un peu pour compléter mon livre saint destinée à la fondation d’une nouvelle religion pour la race blanche, pour réveiller l’âme de celiui et celle qui savent trop bien qui sont nos ennemis — mais qui sont visiblement devenus, vu leur inactivité, des défaitistes ou lâches! Ou se livrent par une canalisation folle de leur rage aux disputes fratricides avec nos camarades au lieu de se rappeler du devoir d’amour envers nos frères et soeurs militants!

Des dons récent:

400 francs suisses et 70 dollars australiens

100 Euros de l’Allemagne, sagement mis dans une feuille d’aluminium

$US 5….. ca aide aussi, et merci au Tennessee!

Mais surtout, surtout

 

MERCI!

Pour tous mes blogs en francais:

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À Étretat en Normandie ancestrale

À Verdun — face aux vrais Ennemis qui nous massacrent par millions, il ne faut jamais plus avoir de fratricide parmi des Blancs!

Une relation –Un mort de France en août 1914

http://www.democratic-republicans.us/francais/french-biographie-de-john-de-nugent

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